La filière du vin peut respirer. Après quatre ans de marasme, elle vient de démontrer qu’elle peut être compétitive, non seulement pour les grands crus et les vins de moyen gamme supérieure, mais aussi pour l’entrée de gamme. Preuve en est le bilan 2017 des exportations françaises de vins et spiritueux*, dévoilé par la Fédération des exportateurs de vins et spiritueux (Fevs), le 14 février à Paris.
Si les professionnels des vins et spiritueux ont affiché un record en 2017 à 12,9 milliards d’euros – permettant ainsi à la filière de dégager un confortable excédent commercial de 11,5 milliards – la performance la plus notable est sans doute « le rebond des volumes de vin » pour reprendre l’expression d’Antoine Leccia (notre photo), à la tête de la Fevs et du directoire du groupe AdVini…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 272
diffusée le 22 février 2018 auprès de ses abonnés
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