Après les très médiatiques tractations entre l’Union européenne (UE) et la Wallonie autour du CETA *, une autre affaire pourrait venir ternir la réputation de l’UE et sa capacité à négocier, au nom des 28 États membres, des traités internationaux. C’est cette fois le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, qui cherche à sauver l’accord d’association UE / Ukraine, et son important volet commercial, rejeté par une majorité d’électeurs à l’issue d’un référendum organisé le 6 avril dernier. Malgré une participation de seulement 32,2 %, 61,1 % des électeurs avaient voté ‘non’. « C’est un fait politique important, ce qui signifie que le processus de ratification ne peut pas se poursuivre comme prévu », avait souligné Bert Koenders, le ministre des Affaires étrangères néerlandais, après l’annonce des résultats. Entré en vigueur de façon provisoire le 1er janvier 2016, le volet commercial de l’accord a déjà obtenu le feu vert du Parlement européen (PE) et de tous les Etats membres…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 212
diffusée le 3 novembre 2016 auprès de ses abonnés
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