Rien ne va plus entre Berlin et Ankara. Si les relations entre les deux capitales n’ont cessé de se détériorer depuis le coup d’État manqué en Turquie en juillet 2016 et la purge orchestrée ensuite par le président Reccep Tayyip Erdogan, les récentes déclarations d’Angela Merkel ont sérieusement mis le feu aux poudres. De quoi porter un coup fatal à des négociations d’adhésion qui, de toute façon, piétinent depuis plusieurs années.
Rappelons que lors d’un débat électoral télévisé avec son adversaire social-démocrate Martin Schulz, dimanche 3 septembre, la chancelière a ainsi déclaré vouloir mettre un terme aux négociations d’adhésion à l’Union européenne de la Turquie. « Il est clair que la Turquie ne doit pas devenir un membre de l’Union européenne », a asséné la grande favorite du prochain scrutin législatif fédéral allemand, ajoutant qu’elle rechercherait « une position commune dans ce sens avec ses collègues européens après les élections de septembre »…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI
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