L’Union européenne (UE) durcit le ton face à la Chine, et les velléités italiennes de soutenir la stratégie d’influence chinoise donnent un caractère d’urgence à cette initiative. Une semaine après avoir obtenu le feu vert définitif du Conseil pour la mise en place, d’ici octobre 2020, d’un système de filtrage des investissements étrangers, la Commission a présenté le 12 mars un plan stratégique en dix points pour construire des relations plus équilibrées avec Pékin.
« Nous pouvons retirer d’énormes avantages économiques mutuels de nos relations économiques si la concurrence est loyale et si les échanges commerciaux et les investissements sont réciproques, a justifié, dans un communiqué, Jyrki Katainen, Vice-président au sein de l’exécutif. Avec cette communication, nous formulons des propositions concrètes sur la manière dont l’UE peut agir pour renforcer sa compétitivité, garantir une plus grande réciprocité ainsi que conditions de concurrence équitables et protéger son économie de marché contre d’éventuelles distorsions ».
Renforcer la coopération et tenir ses engagements
Dans ce document stratégique, la Commission propose notamment de renforcer la collaboration UE / Chine dans la lutte contre le changement climatique ou en faveur du plan d’action global commun pour l’Iran…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 319
diffusée le 14 mars 2019 auprès de ses abonnés
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