1/ « Ne jamais partir seul et à l’aveugle.
Nous bénéficions en France de capacités de conseils et de financement qui n’existent pas ailleurs : CCI, Coface, Oséo… On doit aussi confronter ses projets avec des expériences similaires via les clusters, les syndicats professionnels. »
2/ Une démarche export s’inscrit dans le temps, ce n’est pas parce qu’on rencontre un échec qu’il faut se retirer.
S’il y a eu une bonne analyse, si on a été bien conseillé, ça marchera. En étant opiniâtre.
3/ Il faut une adhésion globale des personnes.
Une démarche export concerne toute l’entreprise, le commercial, le bureau d’études, les assistantes, les techniciens…
Elle demande de prendre en compte des contraintes réglementaires, de comprendre d’autres cultures, d’accepter des déplacements.