Quand on lui parle de ‘Brexit’, Corinne Moreau préfère s’en tenir à l’état des lieux. Car, comme l’affirme la directrice générale de Promosalons, le comité de promotion des salons français à l’étranger, « personne ne sait à ce stade de quoi sera fait l’avenir, il n’y a donc aucune raison d’avoir peur. Il y a même, peut-être, quelque chose d’une opportunité qui pourrait se dégager pour nos foires et expositions », si l’on considère que « depuis longtemps, les Britanniques ont plébiscité le média salon en Allemagne et en France ». Et ce, d’autant plus que le Royaume-Uni n’est pas une terre de grands salons internationaux. Seules exceptions, Farnborough dans l’aéronautique et la London Wine Fair. D’ici à penser qu’avec la sortie de leur pays de l’Union européenne, ils seraient tentés de venir encore plus nombreux dans l’Hexagone…
Quoi qu’il en soit, l’enjeu est réel pour la filière MICE (Meetings, incentives, conferences, exhibitions), qui génère en France, tous pays confondus, 7,5 milliards d’euros de retombées économiques tous les ans. Avec 60 000 visiteurs, soit 9 % des internationaux, les Britanniques forment le premier ou le deuxième contingent…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 202
diffusée le 21 juillet 2016 auprès de ses abonnés
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