Premier succès
Une internationalisation immédiate
Dans un marché globalisé et un secteur particulier puisque les compétitions de free fight ne sont pas autorisées en France, Dragon Bleu a tout de suite marché à l’international avec sa marque Venum. Un catalogue complet, un site clair et pratique, une visibilité en or grâce au sponsoring de sportifs, une logistique bien huilée… La marque conquiert les salles d’entraînement. Y compris aux États-Unis, où les MMA sont encore plus populaires que le catch. « Deux mois après l’ouverture de notre filiale aux États-Unis, le chiffre d’affaires généré par notre site est passé de 70 000 dollars à 150 000 dollars », confie Franck Dupuy.
Premier échec
Les États-Unis : peut mieux faire
Malgré une implantation réussie et des ventes en progrès contants, Franck Dupuy estime ne pas être encore assez présent sur le marché américain. « Nous sommes en deçà de ce que nous pourrions faire, constate le dirigeant. Les États-Unis représentent la moitié du marché mondial et nous ne nous développons pas assez rapidement. Mais l’objectif reste de faire progresser le chiffre d’affaires de 50 % dans les 24 prochains mois. »