Les 22 et 23 octobre, le ministère de l’Économie et des finances a accueilli la première édition d’Ambition Africa, un nouvel évènement business destiné à dynamiser les relations économiques entre la France et l’Afrique organisé sous l’égide de Bercy et du Quai d’Orsay par Business France et ayant rassemblé 250 PME et ETI françaises et 320 sociétés africaines originaires de douze pays*.
Inutile de préciser que ces entreprises étaient toutes des sociétés structurées. Or, si l’ambition affichée était le partenariat, franco-africain et euro africain, la nouveauté n’était pas là, mais dans les solutions avancées pour travailler avec l’économie informelle, qui n’est plus ainsi seulement considérée comme l’ennemie de l’économie réelle, mais aussi comme un moyen de subsistance de nombre de citoyens du continent, notamment des jeunes à la recherche d’emploi. « 60 % du produit intérieur africain sont générés par l’économie informelle », a ainsi rappelé Arnaud Ventura, fondateur et CEO de Baobab (notre photo), un spécialiste de l’inclusion financière digitale, qui offre ses services à des particuliers (femmes, jeunes, commerçants individuels), des micros et petites entreprises en Afrique…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 301
diffusée le 25 octobre 2018 auprès de ses abonnés
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