Comment la France peut être plus efficace en Afrique pour promouvoir ses savoir-faire ? C’est le thème de réflexion que Stéphanie Rivoal, secrétaire générale du sommet Afrique-France 2020, a proposé aux membres du CIAN, lors d’un déjeuner le 7 octobre, en vue de parvenir à des recommandations concrètes lors de l’événement, prévu du 4 au 6 juin à Bordeaux, qui doit attirer de nombreux chefs d’Etats et de gouvernements africains.
Un discours sans langue de bois, fidèle à la réputation de cette diplomate atypique, ancienne ambassadrice en Ouganda passée par la banque d’affaire à Londres mais aussi l’ONG Action contre la faim, dont elle a été présidente avant d’être nommée à Kampala. Il a plu aux hommes d’entreprises déjà investis sur le continent qui forment le gros des adhérents du Conseil des investisseurs français en Afrique (CIAN).
Faire face à la concurrence des pays émergents
D’autant plus qu’il s’agit, selon Stéphanie Rivoal, de « faire face au rouleau compresseur de la Chine », mais pas seulement, de la concurrence de la Turquie, de l’Inde, de l’Égypte, de la Russie…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 343
diffusée le 10 octobre 2019 auprès de ses abonnés
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*Notre photo : Stéphanie Rovoal et Pierre de Gaétan Njikam-Mouliom, 3ème adjoint au maire de Bordeaux chargé des partenariats avec l’Afrique, et de la francophonie, le 17 septembre dernier à Bordeaux Métropole, où s’est tenue la première conférence de presse du Sommet Afrique-France 2020.