Les Européens sont furieux, mais impuissants, les Iraniens sont furieux également, mais aussi impuissants. Les Américains fixent leurs règles, et malgré des déclarations apaisantes de John Kerry, le 23 avril à New York, les banques européennes ne voient toujours aucune possibilité pour elles de travailler en Iran. « Les difficultés perdurent », confirme à la Lettre confidentielle un familier de ce pays du Moyen-Orient, pourtant habitué au montage complexe des contrats d’affaires pour les entreprises…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 191
diffusée le 5 mai 2016 auprès de ses abonnés
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