L’Iran sera cette année, du 4 eu 6 octobre, le pays invité d’honneur du Sommet de l’élevage, à Clermont-Ferrand. Fallait-il inviter ce grand pays agricole, mais aux relations politiques difficiles ? En d’autres termes, est-ce trop tôt ? « Le plus important est ne pas rater le train. Il vaut mieux s’y atteler de bonne heure. Le relationnel est très important pour se positionner », a expliqué au Moci Benoît Delaloy, responsable international de ce rendez-vous annuel en terre auvergnate, qui va réunir 2 000 animaux, 1 500 exposants et 88 000 visiteurs.
L’annonce de l’exportation en Iran de 300 vaches normandes dans les semaines ou les mois à venir semblent donner raison aux organisateurs du Sommet de l’élevage, qui se sont rendus déjà à deux reprises au salon de Téhéran Iran Plex (International exhibition of poultry, livestock, dairy and related industries)…