L’entourage d’Emmanuel Macron est scruté à la loupe depuis des semaines par les lobbies de toutes natures en quête de courroies de transmission pour faire passer leurs messages et propositions. D’autant plus intensément depuis son élection à la présidence de la République le 7 mai. Et l’écosystème du commerce extérieur n’échappe pas à cette règle du jeu démocratique.
En l’occurrence, aux lendemains du deuxième tour, cet écosystème attend toujours des clarifications, comme en témoigne -fait inhabituel pour un organisme d’habitude discret- le nouveau communiqué publié le 9 mai par le président du Comité national des Conseillers du commerce extérieur (CNCCEF), Alain Bentéjac*. Les interrogations qui traversent les cercles d’entreprises, consulaires, d’opérateurs publics ou encore les fédérations professionnelles, portent notamment sur les orientations concrètes et la place qui sera accordée aux questions de commerce international et de commerce extérieur au sein du futur gouvernement -concrètement, y aura-t-il un ministre ou un secrétaire d’État en charge du Commerce extérieur ?-, des sujets traités à la marge durant la campagne, et sur lesquels le programme du candidat est muet.
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 238
diffusée le 11 mai 2017 auprès de ses abonnés
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