Le 8 janvier, l’État et les organisations professionnelles du secteur de la mode et du luxe (textile, mode et habillement, travail du cuir, horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie, parfumerie, cosmétique) ont signé un contrat de partenariat, en présence du ministre de l’Economie et des finances, Bruno Le Maire et de son collègue à la Culture, Franck Riester. Pour cette déjà filière très exportatrice, l’enjeu est d’abord la formation, mais l’international est aussi en ligne de mire.
De fait, parallèlement, était inauguré le nouvel Institut français de la mode, né de l’union de l’actuel Institut français de la mode (IFM) et de l’École de la Chambre syndicale de la couture parisienne (ECSCP). Ce double évènement s’est tenu à la Cité de la mode et du design où tous les programmes de l’IFM seront déployés à partir de l’automne 2020.
La formation, enjeu majeur
Le contrat a été conclu dans le cadre du Comité stratégique de filière (CSF), créé sous l’égide du Conseil national de l’industrie (CNI) que préside le Premier ministre. Pour cette filière déjà très internationalisée, la formation apparaît comme le principal enjeu (…)
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 310
diffusée le 10 janvier 2019 auprès de ses abonnés
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