2017 a peut-être été l’année où l’on aura parlé le plus du franc CFA depuis sa dévaluation de moitié en 1994. Les raisons en sont multiples, mais surtout d’ordre économique : la chute des cours du pétrole pour les États membres de la Communauté économique d’Afrique centrale (Cemac) et le creusement de la dette en devises pour deux des pays de la Cemac, Cameroun et Gabon, et deux États membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), Côte d’Ivoire et Sénégal…
Pas de quoi inquiéter, pour autant, du moins pour 2018, Thierry Apoteker (notre photo), qui s’en est expliqué lors du Forum Afrique Moci / Cian 2018, qui s’est tenu le 2 février à la Chambre de commerce et d’industrie Paris Ile-de-France, à l’occasion de la publication du Rapport Cian 2018 « Les entreprises internationales et l’Afrique »…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 270
diffusée le 8 février 2018 auprès de ses abonnés
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