Le suspense est à son comble autour des modalités du Brexit, mais le mot d’ordre à la Franco-British Chamber (FBC) est de garder son sang froid : « Calme, pragmatisme, optimisme, détermination », tels sont les quatre mots clés que répète Thierry Drilhon, son président français.
Et quand on lui demande quelle est la position de la Chambre sur le Brexit, il répond avec un flegme que ne lui renierait pas les Britanniques : « Si Brexit il doit y avoir pour des raisons de politique intérieure, le monde économique souhaite un remain business ». Autrement dit, maintenir des relations économiques fortes entre les entreprises des deux pays, dont les échanges annuels atteignent les 95 milliards d’euros.
Un plan de « transformation stratégique
Il est vrai qu’en 146 ans d’existence – créée à Paris en 1873, elle est la plus ancienne des chambres de commerce internationales en Europe – la Chambre de commerce & d’industrie franco-britannique (son nom en français), en a vu d’autre en matière de perturbations historiques…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 344
diffusée le 17 octobre 2019 auprès de ses abonnés
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