Le 6 octobre, à Alger, le Conseil des ministres, présidé par le président Abdelaziz Bouteflika, a annoncé deux mesures visant à relancer l’investissement direct étranger (IDE) en Algérie, très faible depuis 2009, date de l’instauration de la règle 51/49 (51 % de part algérienne obligatoire dans tout nouvel investissement ou projet international) : d’une part, les sociétés ne devront présenter des bilans excédentaires en devises et, d’autre part, pour celles installées avant 2009 et souhaitant changer de registre de commerce, elles ne seront plus obligées de s’associer à un partenaire local.
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 162
diffusée le 8 octobre 2015 auprès de ses abonnés
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