Ministre algérien du Commerce, Mohamed Benmeradi a été clair en annonçant, il y a quinze jours à Alger, la volonté du gouvernement de réduire les importations. Après avoir atteint 46,7 milliards de dollars en 2016, elles devraient encore osciller entre 40 et 41 milliards de dollars à la fin de l’année. Une vingtaine de produits représente à eux seuls 50 % du total des achats.
Insuffisant, juge le gouvernement, qui, confronté à la chute des cours du baril d’or noir, passé de 110 à 50 dollars, voudrait une facture encore allégée de 10 milliards. D’où sa décision de distiller avec plus de parcimonie les licences d’importation et d’interdire la fourniture de certains produits sur le marché local. Un récent atelier Maghreb organisé le 19 octobre dernier par la Chambre de commerce et d’Industrie Paris Ile-de-France a permis de faire le point (…)
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 257
diffusée le 26 octobre 2017 auprès de ses abonnés
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