Une vingtaine de chefs d’État se sont réunis à Bruxelles vendredi 23 février pour donner un coup de pouce politique et financier au « G5 Sahel », la force militaire constituée par cinq pays africains (Mali, Mauritanie, Burkina Faso, Tchad, Niger) afin de lutter contre les groupes jihadistes actifs dans la région du Sahel. Objectif : lever au moins 300 millions d’euros pour couvrir les coûts de fonctionnement de cette force régionale, estimés, pour la première année, à 423 millions.
Pari réussi, puisque cette nouvelle vague de contributions a franchi le cap des 410 millions d’euros de promesses à l’issue de la conférence. Mais si la dimension militaire a dominé l’agenda de ce sommet, le renforcement de l’aide au développement en a constitué le second volet, jugé indispensable pour contribuer à une sécurisation durable de la zone. Un volet que doivent suivre de près les opérateurs qui s’intéressent à l’Afrique…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 273
diffusée le 1er mars 2018 auprès de ses abonnés
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