Le Kazakhstan veut relancer la diversification de son économie, toujours dépendante des hydrocarbures (71 % de ses exportations). Aujourd’hui, la France aurait intérêt à y contribuer. Ses entreprises pourraient, en effet, tirer parti de cette stratégie de développement. Deux raisons ont été ainsi avancées lors du Forum d’affaires France-Kazakhstan, qu’ont organisé Medef International et l’agence publique Kazakh Invest, le 8 octobre au Medef : un retour à la confiance et la position de la France dans ce pays.
La première raison est donc la confiance que peut inspirer aujourd’hui un Kazakhstan qui se réforme (enfin).
Le meilleur exemple en est son classement dans le rapport sur la Facilité à faire des affaires de la Banque mondiale. Quand ce pays occupait le 74e rang dans l’édition Doing Business 2010, et donc se trouvait au milieu supérieur du tableau, la méfiance était légitime, et la diversification souhaitée par les autorités kazakhes ne pouvait pas décoller…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 344
diffusée le 17 octobre 2019 auprès de ses abonnés
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