Dans les milieux de l’entreprise, les réactions positives à l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République contre Marine Le Pen tombent depuis le 8 mai. Elles vont du patron du Medef, Pierre Gattaz à celui de la CPME, François Asselin, en passant par les Conseillers du commerce extérieur (CCEF), l’OSCI (Opérateurs spécialisés du commerce international), l’Afep (Association française des entreprises privées), du Groupe des fédérations industrielles (GFI) et le Cercle de l’industrie, les milieux de la French Tech -incluant le « mouvement des pigeons » qui avait porté une révolte fiscale en 2013-, les fédérations sectorielles dont certaines, inquiètes des menaces protectionnistes, avaient fait entendre leur voix pour défendre l’ouverture commerciale et faire part de leurs besoins*. Alors que celui qui succèdera à François Hollande est attendu sur de nombreux dossiers et que les élections législatives (11-18 juin) se préparent déjà, certains ont toutefois profité de l’occasion pour concentrer leur prise de parole sur des sujets internationaux qui leur tiennent à cœur.
Dans les milieux du commerce extérieur, qui avaient pris résolument position contre la tentation protectionniste portée par la candidate du Front national avant le second tour à travers communiqués et pétition**, c’est Alain Bentéjac, président du Comité national des Conseillers du commerce extérieur (CNCEF) qui a rouvert le ban dans un communiqué de cette organisation diffusé le 9 mai (…)
Ceci est l’extrait d’un article de la Lettre confidentielle du MOCI, diffusé sous forme d’alerte à ses abonnés dès le 9 mai
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