Le marché africain des infrastructures est clairement dans les radars des acteurs publics et privés de la place financière parisienne regroupés au sein de Paris Europlace. Ambitionnant de devenir une place mondiale de référence pour les financements ‘durables’ des infrastructures, cette dernière a mis les problématiques du continent au menu de sa dernière semaine Paris Infraweek 2019.
La « qualité des infrastructures », autrement dit les infrastructures durables et « vertes », était le thème de cette édition qui s’est déroulée du 7 au 11 octobre dans la capitale française. Quatre pays émergents ont envoyé de fortes délégations cette année, dont deux pays d’Afrique, le Kenya et le Maroc, aux côté de l’Arabie saoudite et de la Croatie. Plusieurs tables-rondes et conférences ont concerné l’Afrique.
Un choix opportun alors que le prochain Sommet Afrique-France de juin 2020 à Bordeaux est consacré aux « villes et territoires durables », qui comporte de nombreux aspects sur les infrastructures.
« Il y a 10 ans, la priorité du G20, c’était de réduire la pauvreté, a rappelé Augustin de Romanet, président de Paris Europlace et P-dg du groupe ADP, lors du forum d’ouverture à Bercy, le 7 octobre (notre photo).
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 344
diffusée le 17 octobre 2019 auprès de ses abonnés
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