Nicole Bricq, ministre du Commerce extérieur : « Notre mobilisation doit être palpable et en tout cas perceptible par les entreprises qui innovent et créent des emplois… Aujourd’hui nous rassemblons nos forces avant de repartir ensemble à l’assaut du monde… Je termine en disant que c’est ici que ça se passe, à Bercy ». Déclaration en conclusion du discours prononcé en ouverture de la première conférence-rencontre « France International, Bercy pour les entreprises » organisée par Bercy le 14 janvier à l’occasion de la réunion annuelle des chefs de services économiques régionaux (voir ci-dessous).
Alexandre Saubot, directeur général de Pinguely Haulotte : « Le président Hollande a dit qu’il souhaitait un Etat réactif et agile. Dans ce domaine (ndlr : des soutiens financiers à l’export), c’est déjà le cas ». Témoignant lors d’une table ronde sur les possibilités d’accompagnement de Bpifrance Export, lors de la première conférence-rencontre « France International, Bercy pour les entreprises » organisée par Bercy le 14 janvier , le chef d’entreprise évoquait les soutiens publics export dont il avait bénéficié en matière d’assurance-crédit et de garanties de financement pour ses exportations de la part de Bpifrance et de Coface. Mais il n’a pas manquer aussi de passer un message plus général : « Le cœur du moteur, c’est que le chef d’entreprise prenne des risques et pour ça, il faut qu’il gagne de l’argent. » (voir ci-dessus)
Alain Renck, directeur de Bpifrance Export : « Ne tirez pas sur votre trésorerie, on a les outils qui vous permettent d’éviter ça ». Déclaration aux chefs d’entreprises présents lors d’une table ronde sur les possibilités d’accompagnement de Bpifrance
Export, dans le cadre de la première conférence-rencontre « France International, Bercy pour les entreprises » à Bercy le 14 janvier. (voir ci-dessus)
Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères : « Que ce soit les Affaires étrangères, l’Economie et les Finances, l’Education et la Recherche, la Défense, les Transports, l’Agriculture, d’autres encore, nous devons tous agir dans la même direction pour parvenir à redresser notre pays. Il faut bien se coordonner, mais il y a suffisamment de travail, me semble-t-il, pour que chacun se sente utile. » Extrait d’une interview accordée au quotidien Les Echos des 10 et 11 janvier 2014, sur une pleine page.