Yves Thibault de Silguy, vice-président de Medef International et du groupe Vinci : « Notre part de marché en Iran est passée de 7 à 1 %. On a pris du retard. La concurrence sera essentiellement européenne. Et comme ce pays a besoin d’outils industriels et d’infrastructures, il faudra constituer des consortiums pour répondre aux appels d’offres qui seront passés et des consortiums qui associent les PME aux grandes entreprises ».
Déclaration du dirigeant de l’organisation patronale, le 10 septembre, à l’occasion de la présentation de la délégation de chefs d’entreprises qu’il conduira en Iran, à Téhéran et Mashraf, du 21 au 23 septembre. Lire à ce sujet sur www.lemoci.com : France/Iran : en attendant la levée des sanctions, les entreprises françaises préparent leur retour et France/Iran : avant le départ de la mission de Medef International, des PME témoignent
Alain Bentéjac, président du CNCCEF : « Bpi donne l’image d’une institution dynamique orientée client et j’espère que cette orientation sera donnée aux garanties d’État ».
Déclaration au Moci en réaction à l’annonce du prochain transfert des aides publiques à l’export gérées par Coface à la banque publique Bpifrance. Lire dans la LC d’aujourd’hui : Coface/Bpifrance: F. Sanchez et A. Bentéjac attendent du transfert la création d’une véritable machine de guerre économique
Frédéric Sanchez, président de la commission Internationalisation et filières du Medef : « Cela va dans le sens de ce pourquoi nous plaidons depuis des années : la constitution, progressivement, d’un guichet unique, d’une Maison unique dans laquelle les entreprises pourront trouver à la fois des financements et garanties classiques et des financements et garanties pour l’export. C’est utile et cela paraît être au Medef un gage d’efficacité, notamment pour les PME ».
Déclaration au Moci en réaction à l’annonce du prochain transfert des aides publiques à l’export gérées par Coface à la banque publique Bpifrance. Lire dans la LC d’aujourd’hui : Coface/Bpifrance: F. Sanchez et A. Bentéjac attendent du transfert la création d’une véritable machine de guerre économique
Ministère des Affaires étrangères et du développement international : « Notre position n’a pas changé et s’articule autour des trois aspects que M. Laurent Fabius avait distingués l’année dernière : la nécessaire proportionnalité des sanctions ; la réciprocité en rappelant que ce n’est « que sur cette base que le partenariat transatlantique qui est en cours de discussion avec les États-Unis pouvait être établi » ; le lien entre extraterritorialité et rôle du dollar dans le commerce international. Il avait indiqué que « la seule manière de lutter efficacement contre un risque de cette sorte, c’est d’avoir une contrepartie aussi solide. Et la contrepartie aussi solide s’appelle l’euro. (…) En tout cas, cela signifie que la monnaie européenne doit être présente car sinon nous avons une loi que nous subissons ».
Déclaration du porte-parole du Quai d’Orsay lors d’un point de presse le 10 septembre en réponse à la question d’un journaliste sur « la réaction de la France à l’application « extra territoriale » des lois américaines visant des sociétés françaises ». En l’occurrence une allusion aux amendes faramineuses payées par BNP Paribas et d’autres banques européennes pour avoir, selon la justice américaine, contrevenu aux sanctions américaines en vigueur contre certains pays (Soudan, notamment).