François Hollande, président français : « Je souhaite que la France puisse continuer à mettre en valeur les immenses richesses de l’Ouest canadien, que ce soit dans les techniques d’exploitation, de transformation, d’acheminement des hydrocarbures ou dans la construction d’infrastructures ».
Cité par un article du Monde (5 novembre 2014) relatant les déclaration du président français lors de sa visite dans le parc national de Banff, dans le sud de l’ Alberta, dans le cadre de sa visite d’État au Canada. Cette région est un lieu d’exploitation des sables bitumineux pour la production d’hydrocarbures – proscrite en France, comme celle des gaz de schistes – et Total y réalise, selon le président français, « son plus gros investissement au monde », en utilisant « des techniques respectueuses de l’environnement ».
Thierry Girard, directeur commercial international de NGE : » Une deuxième étape pour des entreprises chinoises de BTP ne possédant pas la qualité requise peut être de s’adresser à un ingénierie occidentale dans une niche pointue. C’est un schéma croissant, notamment dans le ferroviaire. Ma société a reçu une demande dans ce sens, en particulier dans la grande vitesse où les Chinois n’ont pas forcément le savoir-faire. Alors, pour une entreprise française, ce peut être l’occasion de voir si un mariage à court, moyen, long terme est possible. Ce n’est pas sûr, car le souhait des Chinois de transferts de technologie est souvent inscrit dans le contrat « .
Propos tenus le 5 novembre, à l’occasion d’un petit-déjeuner débat organisé par la Chambre de commerce franco-arabe sur le thème du BTP dans les pays arabes. NGE est une entreprise française indépendante, spécialisée dans les travaux publics, avec un chiffre d’affaires de 1,4 milliard d’euros en 2013, un effectif global de 7 500 salariés et une de ses activités particulièrement tournée vers l’international : les travaux ferroviaires (marque TSO).