Banque publique de développement méconnue du grand public et des entreprises exportatrices, la Sfil s’incruste pourtant lentement mais sûrement dans le paysage du crédit export français en refinançant les banques sur des montants d’un minimum de 70 millions d’euros. Une pierre essentielle à un édifice dont le second pilier est Bpifrance assurance export, filiale de la banque publique Bpifrance, et dont l’ultime objectif est de soutenir les grands contrats d’exportation français par une offre financière attractive. « Une très grande majorité des projets d’infrastructures à l’export se gagnent par un apport de financement : la proportion est proche de 100 % dans l’énergie et atteint 100 % dans le nucléaire » abonde Corinne Bilbao, présidente de GE France, filiale du groupe américain du même nom présent dans l’Hexagone dans la production d’équipements et de systèmes dans les infrastructures, l’énergie, les transports et la santé.
Présente au côté de Philippe Mills, directeur général de la SFIL, lors d’une conférence de presse à Lyon le 13 septembre dans le cadre d’une tournée de promotion effectuée par ce dernier en Auvergne-Rhône Alpes, Corinne Bilbao ne tarit pas d’éloge concernant la contribution de la SFIL à certains des succès commerciaux de son entreprise dans les pays émergents…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 296
diffusée le 20 septembre 2018 auprès de ses abonnés
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