Économie
Informations pays
Population (millions, 2020)1 : 18,9
Capitale : Astana
Devise : Tenge kazakh (KZT)
Décalage horaire avec la France : +4 h en été et en hiver.
Climat :
À Astana
• Température moyenne la plus basse en janvier-février : – 35°C.
• Température moyenne la plus élevée en juillet-août : 38°C.
Indicateurs économiques :
Taux de croissance du PIB réel1 : 2021 : 3,2 % (estim.) ; 2020 : -2,6 %
Revenu national/hab. en parité de pouvoir d’achat (USD, 2020)2 : 24 380
Sources : (1) FMI. (2) Banque mondiale.
Conjoncture
Le Kazakhstan a été touché par une première vague épidémique entre mars et mai 2020 à laquelle les autorités ont rapidement répondu par la mise en place de l’état d’urgence et des mesures de confinement dans plusieurs villes du pays dont notamment Nour-Soultan et Almaty du 19 mars au 11 mai. Après une accalmie, l’épidémie a toutefois connu une brusque recrudescence à partir de la fin du mois de juin, obligeant les autorités à remettre en place des mesures de confinement au cours du mois de juillet. Un regain épidémique à partir de novembre a obligé les autorités à reprendre des mesures pour limiter les regroupements de personnes entre le 25 décembre 2020 et le 5 janvier 2021.
Au 22 décembre 2020, près de 150 000 de cas de Covid-19 ont été détectés au Kazakhstan et plus de 700 nouveaux cas étaient annoncés quotidiennement. Le pays compte par ailleurs officiellement 2 147 décès liés au Covid-19 mais ce chiffre apparaît nettement sous-évalué, notamment en raison d’une définition très restrictive des décès liés au Covid-19.
En dépit des politiques de diversifications affichées, l’économie kazakhstanaise repose encore essentiellement sur l’extraction d’hydrocarbures. Le secteur pétro-gazier du Kazakhstan représente environ 17 % du PIB et environ deux tiers des exportations. Le pays dispose de 2 % des réserves mondiales de pétrole (12e rang mondial). Le Kazakhstan est en outre le premier producteur mondial d’uranium et dispose d’importantes réserves de fer, manganèse, chrome, charbon et potassium, etc.
Une croissance annuelle du PIB de l’ordre de 4 % a été atteinte entre 2017 et 2019, notamment grâce à l’augmentation de la production d’hydrocarbures et à la hausse de leurs cours. L’économie kazakhstanaise est donc aujourd’hui touchée par la crise à la fois du fait des restrictions liées à l’épidémie de Covid-19 mais aussi par la baisse des cours des hydrocarbures (chute du prix du baril de Brent sous 30 dollars en avril et mai).
En effet, l’indicateur d’activité économique de la Banque centrale est tombé à 37,2 en avril puis 44 en mai avant de remonter progressivement tout en restant légèrement inférieur à 50 au cours des six mois suivants (un niveau inférieur à 50 signifiant une contraction de l’activité). Par ailleurs, selon le ministère de l’Economie, le PIB aurait reculé de 2,8 % sur janvier-novembre en g.a. Sur la même période, les ventes de détail se sont contractées de 5 % en g.a. et la production industrielle 0,8 % en g.a.
Concernant le commerce extérieur, au cours des dix premiers mois de l’année, les exportations et les importations ont diminué de respectivement 18,6 % et 5,2 % en avril en g.a. Le solde de la balance commerciale reste largement excédentaire (7,9 Mds USD) mais réduit de moitié en g.a. Le compte courant, déficitaire depuis plusieurs années (environ -2,9 % du PIB en 2019), devrait se maintenir à un niveau comparable en 2020.
La Banque centrale estime le déficit du compte courant à 3,8 Mds USD au cours des trois premiers trimestres 2020. Ce dernier est notamment lié, comme les années précédentes, au déficit de la balance des revenus, lui-même imputable à des flux sortants de dividendes et d’intérêts émanant du secteur extractif. Le pays couvre en effet ses besoins en capitaux pour mettre en exploitation des gisements comme ceux de Kashagan et Tengiz par des financements étrangers dans le cadre d’accords de partage de production. De fait, plus de 80 % – 81,6 Mds USD – de ces prêts interentreprises concernent l’investissement dans le secteur de l’extraction d’hydrocarbures, soit 51% du total de la dette extérieure kazakhstanaise. Cette dernière est, notamment pour cette raison, l’une des plus importantes parmi les pays de la CEI, s’élevant à environ 160 Mds USD au 1er juillet 2020 soit près de 90 % du PIB.
A noter que les flux d’IDE entrants nets se sont maintenus à un niveau comparable à l’année dernière au cours du premier semestre (1,9 Md USD).
Après une année de récession avec un recul du PIB qui devrait atteindre -2,7 % en 2020 le cycle de croissance devrait reprendre à partir de 2021 avec une croissance prévue à 3 % selon le FMI.
Source : https://www.tresor.economie.gouv.fr
Commerce extérieur
Échanges de marchandises (2020, Md USD, évolution sur 2019)3 :
Export : 46,447 (-18,95 %)
Import : 37,222 (-1,42 %)
Cinq premiers fournisseurs (avec part de marché)3 :
1 – Russie 36,7 %
2 – Chine 17,1 %
3 – Union européenne 16 %
4 – Corée du Sud 8,9 %
5 – États-Unis 3,5 %
Exportations françaises 20204 : 0,684 Mds USD, +44,20 %
Sources : 3. OMC. 4. IHS Markit.
Risques et paiements
La Rédaction du Moci a réuni un ensemble de notes, scores et paramètres d’évaluation couvrant d’une part le risque macro-économiques associés à un pays, d’autre part la solvabilité générale des entreprises de chaque pays.
A ces indicateurs de solvabilité sont associés les environnements et procédures associées aux démarches de recouvrement pouvant être réalisées dans chaque pays.
Enfin, un expert du Moci a rédigé une note de synthèse associée à cet environnement risque pour la plupart des pays du globe.
Appréciation du crédit manager Moci
Risque pays : mauvais
Risque client : très mauvais
Notes de risque pays
OCDE : 5/7 (octobre 2021)
Euler Hermes : C3, risque de court terme significatif (octobre 2021)
Coface : pays B ; environnement des affaires B (octobre 2021)
Credendo : court terme : 2/7 ; commercial : E ; risque de transfert : 5/7 (octobre 2021)
Atradius : 4/10 négatif (octobre 2021).
Environnement des affaires
Indice de perception de la corruption (2) : 94/180
Sources : (2) Transparency international.
Obtenir des renseignements de notoriété sur l’acheteur
Il est quasiment impossible d’obtenir des renseignements sur les entreprises, surtout si elles ne sont pas cotées en Bourse. Pas de bilans, et peu de fiabilité dans les quelques informations recueillies. Se rapprocher des milieux d’affaires et institutionnels français et européens sur place et des autres fournisseurs.
Moyens de paiement
Monnaie locale
Le tenge kazakstanais (KZT).
Librement convertible.
Taux de change au 8 octobre 2021 :
1 KZT = 0,00203 EUR
1 EUR = 479,879 KZT
1 USD = 423,869 KZT
1 KZT = 0,00234 USD
Le KTZ est une monnaie fragile : il a connu plusieurs dévaluations fortes ces dix dernières années par rapport au dollar, dont en août 2015 (20 %), victime de la chute des cours du pétrole dont le pays est très dépendant pour ses réserves de change. Le KTZ a également connu des fluctuations à la baisse vis-à-vis du rouble. Suite à la démission du Président Noursoultan Nazarbaïev, fin mars 2019, après 30 ans de pouvoir, elle avait à nouveau décroché.
Meilleures monnaies de facturation des échanges
Le dollar américain et l’euro.
Conseillés
Crédit documentaire confirmé ou, plus rarement, virement Swift garanti par une assurance-crédit.
Déconseillés
Tous les autres.
Conditions de paiement
Délais de paiement habituels
Privilégier le paiement d’avance (plus de 75 % des transactions internationales). Sinon, accorder 30 jours de délai maximum. Les importateurs essayent souvent d’obtenir 90 jours. N’accepter que dans le cas d’un crédit documentaire confirmé. Les coûts moyens des crédits documentaires ont sensiblement diminué mais demeurent néanmoins encore élevés.
Risques de retards de paiement
Les risques existent, mais les retards sont rares, sauf, évidemment, si votre transaction n’est pas sécurisée par une garantie. Dans ce dernier cas, les retards peuvent atteindre plusieurs mois.
Acomptes à la commande
En obtenir est possible et en demander est recommandé.
Garanties bancaires locales
Des garanties bancaires locales peuvent être obtenues rapidement auprès des principales banques locales : Turan Alem (BTA Bank), Kazkomertzbank et Halyk Bank. Attention, le système bancaire est très fragile et sa réputation est encore entaché des défauts passés. Et en matière de commissions bancaires, les coûts sont encore assez élevés.
Tribunal compétent en cas de litige
• C’est un dilemme. Difficile de déterminer la juridiction compétente : le système judiciaire kazakh est inefficace et peu transparent, et ses procédures sont réputées longues et dissuasives.
• Il est recommandé de recourir à un tribunal d’arbitrage international (à préciser dans les contrats). Mais l’exécution de la décision au Kazakhstan sera longue et aléatoire.
• Privilégier les transactions amiables, extrajudiciaires.
Classement Banque mondiale, règlement insolvabilité, 2020 : 42/190.
Le conseil du crédit manager
Après une courte accalmie d’un an, le risque de non-transfert s’est de nouveau dégradé et est repassé à 5/7 pour le Kazakhstan, qui peine à se remettre de la chute des cours du pétrole à partir de 2015. Le pays avait accueilli en 2017 une exposition universelle qui n’avait pas franchement été un grand succès international. Ce pays prometteur continue à poser de nombreux problèmes aux exportateurs, surtout compte tenu de la difficulté, voire de l’impossibilité, de recueillir des informations fiables sur les entreprises kazakhstanaises et de la fragilité du système bancaire (plusieurs banques, dont la Banque centrale, avaient ainsi fait l’objet d’une rumeur de faillite fin février 2014, par exemple). Il faut sécuriser au maximum les opérations. À noter que plusieurs institutions (à l’exception notable de la Banque mondiale et de l’OCDE) ont dégradé la notation de ce pays. Le risque de non-transfert est passé de 5 à 6, par exemple.
Pour information, la réforme du droit des faillites de 2014 a introduit la notion de procédure de sauvegarde (Rehabilitation Procedure) ce qui, pour de nombreux observateurs, n’est pas vraiment un bon signe pour les créanciers. C’est cette mesure, ainsi que d’autres destinées
à améliorer le droit des affaires, qui ont amené la Banque mondiale à revoir son appréciation de ce pays dans son classement « Doing Business 2019 ». Extrême prudence recommandée pour toutes les transactions.
Mobilité
Chiffres clés
Langues : kazakh, russe.
Religions : musulmans : 47 % ; orthodoxes : 30 % ; protestants : 2 %.
Nombre de Français immatriculés (2020) : 261.
Nombre d’entreprises françaises implantées : 58.
PIB/hab en parité de pouvoir d’achat (2019) : 27 466 USD.
Taux de croissance du PIB (2020) : -2,6 %.
Émissions CO2 (tonnes/hab., 2019) : 14,9 t.
Indicateur global de sécurité (GPI, 163 pays, 2021) : 67e, niveau « moyen ».
Sources : MEAE, Banque mondiale, Commission européenne (base de données EDGAR), FMI, Institute for Economics & Peace pour le GPI et Le Moci.
S’y rendre
Formalités
L’accès au territoire du Kazakhstan est interdit aux étrangers, sauf exceptions. Les voyageurs faisant partie des catégories d’étrangers autorisés à entrer sur le territoire du Kazakhstan ont l’obligation de disposer d’un visa, y compris pour les séjours de moins de trente jours et ce jusqu’au 31 décembre 2021.
Un certificat de test PCR négatif au virus datant de moins de 72 heures avant le franchissement de la frontière est demandé à tous les voyageurs, sauf les équipages de compagnies aériennes et les enfants âgés de moins de cinq ans accompagnés par des personnes disposant d’un certificat. Les voyageurs ne disposant pas d’un certificat ne pourront pas entrer sur le territoire du Kazakhstan. En outre, les voyageurs sont soumis à un contrôle de la température corporelle et doivent remplir un formulaire. Les voyageurs dont la température corporelle est élevée peuvent être placés en quarantaine pendant quarante-huit heures en vue de procéder à un examen de dépistage du virus. Cette quarantaine peut être prolongée en cas de test positif.
Les étrangers titulaires d’un permis de séjour et les membres de leur famille (conjoint, parents et enfants), ainsi que les étrangers membres de la famille de citoyens kazakhstanais et leurs enfants mineurs, ne peuvent franchir la frontière qu’une fois tous les 30 jours à moins de disposer d’une autorisation spéciale d’entrée et de sortie du territoire émanant de la Commission interministérielle kazakhstanaise de lutte contre le coronavirus. Les étrangers titulaires d’un visa de travail peuvent librement entrer et sortir du territoire de la république du Kazakhstan s’ils y sont autorisés par la Commission interministérielle kazakhstanaise de lutte contre le coronavirus. Les ressortissants français concernés sont invités à s’adresser à la police des migrations pour de plus amples renseignements.
Dans ce contexte, il est conseillé de différer tout déplacement au Kazakhstan.
Source : https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/conseils-par-pays-destination/kazakhstan
Y travailler
Le marché du travail
La croissance économique du Kazakhstan est en grande partie fondée sur les revenus du gaz et du pétrole (35 % du PIB et 75 % des exportations). En 2020, l’économie kazakhe a connu un revers en raison de l’épidémie de Covid-19, enregistrant un solde de croissance négatif de 2,6 %. Selon les prévisions d’avril 2021 du FMI, la croissance devrait reprendre en 2021, estimée à 3,2 % du PIB, et se stabiliser en 2022 à 4 %.
Le taux de chômage est passé à 5,5 % en 2020, contre 4,8 % en 2019, en raison des effets économiques négatifs de la pandémie de Covid-19. Selon les estimations du FMI, cette tendance devrait baisser à 5,2 % en 2021 et à 5 % en 2022. La Banque mondiale estime que le taux de pauvreté du pays a augmenté pour atteindre entre 12 % et 14 % en 2020, alors qu’il était de 6 % en 2016. Le gouvernement a mis en œuvre un montant substantiel de soutien direct aux entreprises par le biais de reports d’impôts et de prêts bonifiés, ainsi qu’un soutien financier aux ménages pauvres et aux personnes touchées.
Le Kazakhstan demeure un marché prometteur pour les entreprises françaises en raison de l’importance des ressources naturelles, des programmes d’infrastructures mis en place, de la volonté de diversification des autorités et de la qualité des relations bilatérales. Comme dans d’autres pays d’Asie centrale, l’entrée du personnel étranger est soumise à une série de restrictions dont le candidat à l’expatriation doit tenir compte.
Les secteurs qui recrutent sont les suivants : gaz et pétrole, produits de grande consommation, informatique et télécommunications, finance.
Source : https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/kazakhstan/le-contexte-economique
Le cadre légal du travail
Séjour à long terme : visa d’une validité d’un an. Il faut justifier d’un contrat d’embauche, indiquer son adresse de résidence et subir un test HIV. Il est interdit à tout étranger de moins de 25 ans et ne pouvant justifier d’au moins 3 années d’expérience professionnelle de travailler au Kazakhstan.
Salaire minimum légal : 42 500 tengués/mois (84 euros).
Durée de travail : 40 heures/semaine
Durée de la période d’essai/du préavis : trois mois d’essai, 1 mois de préavis.
Rémunération, avantages et impôts : le montant du salaire fixe dépend du niveau de responsabilité et de l’expérience.
Jours chômés hebdomadaires : samedi et dimanche.
Horaires de travail
Administrations : 9 h – 18 h. Certaines ne sont ouvertes que le matin.
Entreprises : 9 h – 18 h.
Meilleurs sites d’emploi
Vie pratique
Coût de la vie
Monnaie : tengué (KZT).
Taux de change : 1 EUR = 501,6 KZT (9-08-2021).
Indice Big Mac : n.d.
Se loger : pour un studio en centre-ville de la capitale, Noursoultan, compter un loyer mensuel en moyenne de 300 euros et pour un trois pièces, 500 euros. Almaty : 300 et 600 euros respectivement. L’offre étant supérieure à la demande, il existe un choix très large en fonction des goûts et desiderata de chacun. Le parc immobilier disponible permet de se tourner vers une maison individuelle ou vers un appartement. Les loyers sont payables d’avance (en général par trois mois). Les conditions hivernales rendent impératif le choix d’une résidence avec garage chauffé.
Indice Mercer du coût de la vie (logement compris, 209 villes) : Almaty (193e).
Source : MEAE, Mercer, Numbeo.com et XE currency converter.
Informations utiles
Nature du réseau électrique
220 volts.
Télécommunications
Indicatif : + 77 (27 pour Almaty ; 172 pour Astana).
Qualité du réseau mobile : le plus simple et le moins cher est d’acheter une carte Sim sur place.
Qualité du réseau Internet : il n’est pas toujours facile de trouver une connexion.
Principaux jours fériés 2021
25 octobre : jour de la République
16 décembre : jour de l’indépendance.
Distances de ville à ville
Astana – Almaty : 1 214km.
Déplacements de ville à ville
Une dizaine de compagnies desservent l’aéroport de la capitale Astana. La liste de ces compagnies est disponible sur le site de la mairie d’Astana (http://www.astana.kz/en/). Les horaires des trains qui relient Astana aux autres villes du Kazakhstan et aux pays voisins est disponible sur le site de la mairie d’Astana.
Prix Astana – Almaty (1h30, direct) : environ 50 euros pour les tarifs les plus bas.
Le Cercle Magellan vous informe
- Il existe une convention fiscale entre la France et le Kazakhstan qui intéresse les travailleurs transfrontaliers.
- Il n’existe pas de convention sociale entre la France et le Kazakhstan.
Les conventions fiscales bilatérales engageant la France sont consultables sur le site impôts.gouv.fr – Les conventions sociales bilatérales engageant la France sont consultables sur le site cleiss.fr
Contacts
Les acteurs publics
Service économique régional de la DG Trésor
SE de Nour-Soultan
Pays de la zone de compétence :
Kazakhstan, Ouzbékistan,
Tadjikistan, Kirghizistan.
Tél. : +7 717 297 44 89
https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/KZ
Les acteurs privés
CCI France Kazakhstan
Localisation : Consulat Général de France
à Almaty
99 av. Nazarbayev,
croisement rue Aiteke Bi
050000 Almaty
https://www.ccifk.kz/
CIFAL
Prospect Dostyk 20
Business Center « Saint-Petersburg »
Bureau N° 1600
010016 Astana
Tél. : +7 (717) 279 27 78
[email protected]
http://cifalgroupe.com
Salveo
Localisation : Almaty
Tél. : 33 (0)1 84 79 17 50
[email protected]
https://salveo.international
Logistique & Douane
La Banque mondiale a annoncé en septembre 2021 l’arrêt de la publication Doing Business. Nous rappelons ici les dernières évaluations disponibles. Dans le classement « Doing Business 2020 », le Kazakhstan était classé au 105e rang mondial (-3 places par rapport à 2019) pour la performance du commerce transfrontalier. Sont mesurés dans cette rubrique les délais et les coûts (hors droits de douane) associés à trois catégories de procédures : respect des exigences en matière de documentation, respect des procédures de commerce transfrontalier et transport intérieur. Les délais sont fournis en nombre d’heures et les coûts en dollars US. Le transport intérieur n’est toutefois pas intégré dans la note finale.
• À l’export : respect des procédures de commerce transfrontalier (durée 105 h. ; coût 470 USD) ; respect des exigences en matière de documentation (128 h. ; 200 USD).
• À l’import : respect des procédures de commerce transfrontalier (durée 2 h. ; coût 0 USD) ;
respect des exigences en matière de documentation (6 h. ; 0 USD).
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