Économie
Informations pays
État fédéral regroupant 7 émirats mitoyens : Abou Dhabi, Ajman, Sharjah, Dubaï, Fujaïrah, Ras al-Khaïmah et Umm al-Qaïwain
Population (millions, 2020)1 : 11,1
Capitale : Abou Dabi.
Devise : Dirham des EAU.
Décalage horaire avec la France : + 2 h en été, + 3 h en hiver.
Climat : Désertique.
Indicateurs économiques :
Taux de croissance du PIB réel1 : 2021 : 3,1 % (estim.) ; 2020 : -5,9 %
Revenu national/hab. en parité de pouvoir d’achat (USD, 2020)2 : 70 300
Source : (1) FMI (2) Banque mondiale.
Conjoncture
Deuxième économie du Golfe derrière l’Arabie Saoudite, la Fédération des Emirats arabes unis (EAU), dont le PIB a atteint 403 Md USD en 2019, est dominée par l’Emirat d’Abu Dhabi (un peu plus de 60 % du PIB total). Celui-ci assure plus de 90 % de la production d’hydrocarbures et gère l’essentiel de l’épargne accumulée dans les fonds souverains. Fin 2019, la population s’élève à 10,4 M d’habitants dont seulement 12 % de « nationaux ». Le PIB par habitant s’élève à 37 750 USD en 2019. 4ème producteur pétrolier de l’OPEP (3,1 millions de barils/jour en 2019), au 6ème rang pour les réserves mondiales (98 Md de barils), 14ème producteur mondial de gaz (6ème rang pour les réserves), les EAU sont parvenus à réduire la dépendance de l’économie aux hydrocarbures grâce au développement d’une plate-forme de services dès le début des années 1980, notamment à Dubaï (tourisme, activités portuaires et aéroportuaires). Les réexportations de biens y représentent 35 % des exportations totales. La part des hydrocarbures dans le PIB est, depuis 2015, inférieure à 30 % du PIB.
La croissance a légèrement ralenti en 2019 (1,3% contre 1,7% en 2018) et reste largement inférieure aux niveaux atteints entre 2011 et 2016 (près de 5 % en moyenne). Le secteur pétrolier est le principal moteur de l’économie depuis deux ans, bénéficiant du programme d’investissements piloté par ADNOC visant à relever et à diversifier la production de pétrole et de gaz alors même que la production de pétrole est restée plafonnée par l’accord OPEP+. En revanche, le ralentissement du segment « hors hydrocarbures » de l’économie se poursuit. Sa croissance a été de 1% en 2019 contre 3,2% il y a trois ans. Il fait suite au tassement depuis plusieurs années de la demande du secteur privé à Dubaï, où les secteurs immobiliers et du commerce de détail sont en difficulté.
L’impact économique du Covid-19 aux Emirats devrait être particulièrement important aux Emirats arabes unis en 2020. Le pays devrait en effet entrer en récession (-6,6 % selon le FMI, -5,2% selon la Banque centrale) pour la première fois depuis 2009. L’économie émirienne est en premier lieu fragilisée par l’effondrement des cours du pétrole et les quotas de production imposés dans le cadre de l’OPEP+, alors que les recettes du gouvernement reposent en majorité sur les recettes liées aux hydrocarbures. Les activités de services (tourisme, distribution, transport aérien et maritime) sont aussi fortement fragilisées par la baisse de la demande mondiale et, plus encore, par les mesures de précaution mises en place. A ce titre, le report de l’Expo 2020 à 2021 devrait peser considérablement sur l’activité économique en 2020 de Dubaï qui ne pourra plus bénéficier des 20 millions de visites de touristes attendues. L’économie devrait rebondir timidement dès 2021 (+1,3 %) selon le FMI.
Commerce extérieur
Échanges de marchandises (2020, Md USD, évolution sur 2019)3 :
Export : 319,278(-18 %)
Import : 225,741 (-16 %)
Cinq premiers fournisseurs (avec part de marché)3 :
1 – Chine 16,4 %
2 – Union européenne 15,2 %
3 – Inde 10,7 %
4 – États-Unis 8 %
5 – Japon 5,1 %
Exportations françaises 20204 : 3,588 USD, -2,12 %
Sources : 3. OMC. 4. IHS Markit.
Risques et paiements
La Rédaction du Moci a réuni un ensemble de notes, scores et paramètres d’évaluation couvrant d’une part le risque macro-économiques associés à un pays, d’autre part la solvabilité générale des entreprises de chaque pays.
A ces indicateurs de solvabilité sont associés les environnements et procédures associées aux démarches de recouvrement pouvant être réalisées dans chaque pays.
Enfin, un expert du Moci a rédigé une note de synthèse associée à cet environnement risque pour la plupart des pays du globe.
Appréciation du credit manager Moci
Risque pays : bon mais à surveiller
Risque client : moyen
Notes de risque pays
OCDE : 2/7 (octobre 2021)
Euler Hermes : BB2, risque de court terme moyen (octobre 2021)
Coface : pays A3 ; environnement des affaires A2 (novembre 2020)
Credendo : court terme : 2/7 ; commercial : E ; risque de transfert : 3/7 (octobre 2021).
Atradius : 3/10 positif (octobre 2021)
Environnement des affaires :
Indice de perception de la corruption (2) : 21/180
Sources : (2) Transparency international.
Obtenir des renseignements de notoriété sur l’acheteur
Ne pas s’attendre à de l’information de très grande qualité, compte tenu de la rareté des informations disponibles et de leur manque de fiabilité. Recourir aux réseaux d’affaires français et européens sur place.
Principales sources d’information :
• Cedar Rose Int. Services Ltd
Société de l’Arab Business Information, basée à Chypre et spécialisée sur le Maghreb, le Proche et le Moyen-Orient.
www.cedar-rose.com (payant)
• Deux autres sites peuvent être utiles, pour suivre les actualités « business » dans la région :
https://www.zawya.com/mena/en/companies et www.meed.com
Et pour information, une société de renseignements chypriote a ouvert un bureau à Dubai :
• Infocredit group
Middle East Commercial Services (ICG MECOS)
104, Jumeirah Bay Tower X3,
JLT-PH2-X3A, Jumeirah Lakes Towers,
Dubai, U.A.E.
Tél. : +971 4 3338188
Fax : +971 4 2665628
E-mail : [email protected]
http://www.infocreditgroup.com/
Moyens de paiement
Monnaie locale
L’unité de compte est le dirham émirien (AED) divisé en 100 fils. Convertible. Pas de restriction aux transferts de devises.
Taux de change au 17 octobre 2021 :
1 EUR = 4,25962 AED
1 AED = 0,23468 EUR
1 USD = 3,67275 AED
1 AED = 0,27223 USD
Meilleures monnaies de facturation des échanges
Le dollar américain (USD), majoritairement, et l’euro (EUR).
Conseillés
Selon montant, virement bancaire garanti par une lettre de crédit standby, de plus en plus utilisée aux Émirats, ou crédit documentaire éventuellement confirmé selon le montant.
Attention ! Aux Émirats Arabes Unis, les crédits documentaires comportent souvent des clauses non documentaires contraignantes et des incohérences dans les documents requis.
Déconseillés
Tous les autres : chèque, billet à ordre, lettre de change, remise documentaire.
Conditions de paiement
Délais de paiement habituels
Localement la situation se dégrade. Il y a quelques années, le délai moyen était de 30 jours, mais sous la pression des importateurs, on est désormais plus proche des 60 jours.
Cette situation devrait s’améliorer dans le secteur public car une circulaire du 26 mars 2019 donne instruction à ce secteur de régler désormais les factures à 30 jours date de leur réception. Cette mesure est également applicable pour les paiements aux sous-traitants. Il va falloir attendre pour constater si ces instructions sont respectées. Au niveau mondial, environ 30 % des paiements se font, soit d’avance, soit à vue.
Risques de retards de paiement
Jusqu’à une époque récente, les retards de paiement étaient peu fréquents et généralement motivés par le non-respect des clauses contractuelles liant client et fournisseur dans ce pays qui accueille cette année l’Exposition universelle (Expo 2020 Dubaï, retardée d’un an à la suite de la pandémie de Covid-19). Compte tenu de la crise économique et financière qui a frappé le pays à la suite de la chute des cours du pétrole de 2014 et de l’éclatement de la bulle immobilière à Dubaï, la tendance est à la dégradation du comportement payeur de certaines entreprises. On constate ainsi des retards pouvant aller jusqu’à plusieurs mois et on a même enregistré des retards de plus d’un an dans des contrats publics non sécurisés.
Atradius, dans son Baromètre des pratiques de paiement publié en juin 2021, indique un délai moyen de 61 jours. Chiffre identique à celui communiqué par Euler Hermes, 61 jours.
Pour information, dans son « Doing Business in the United Arab Emirates, Country Commercial Guide for U.S. Companies », révisé en septembre 2020, l’US commercial service, mentionne toujours des retards de plusieurs mois, voire années, subis par des exportateurs américains.
Cribis Dun and Bradstreet, dans l’étude World Payment study 2021, couvrant l’année 2020, mentionne que 35,4 % seulement des entreprises respectent les échéances négociées et que 8,6 % règlent avec plus de 90 jours de retard. Ces données indiquent une très nette dégradation par rapport aux années précédentes.
Dans certains secteurs, en particulier le BTP et l’industrie, les délais réels peuvent aller jusqu’à plusieurs mois.
Acomptes à la commande
Demander des acomptes est possible : entre 10 % et 30 % du montant total de la commande, contre une garantie de restitution d’acompte au profit du client, bien évidemment.
Garanties bancaires locales
Obtenir des garanties auprès des banques est possible. Le délai d’obtention se situe entre 1 jour et 7 jours, en moyenne.
Exemple de coûts par type de garantie :
• lettre de garantie : 1 % par an + frais bancaires ;
• réassurance contre-garantie : 50 USD par période de 3 mois + frais bancaires.
Tribunal compétent en cas de litige et droit applicable
• En principe, les clauses attributives de compétence désignant une juridiction ou loi étrangère ne sont pas reconnues dans les Émirats Arabes Unis si les tribunaux des EAU considèrent qu’il s’agit de leur propre juridiction.
• L’exécution, aux EAU, d’une décision étrangère nécessite l’obtention d’un ordre d’exécution d’un tribunal des EAU.
Pour information, notons également la très mauvaise note attribuée à ce pays dans une récente étude d’Euler Hermes, à la complexité du recouvrement : sur 50 pays analysés, UAE arrive en seconde position derrière l’Arabie saoudite.
Classement Banque mondiale, règlement insolvabilité, 2020 : 80/190.
Le conseil du credit manager
Le système bancaire émirati a maintenant quasiment digéré les effets de la crise de fin 2009. Pour rappel, l’un des Émirats les plus importants, Dubaï, s’était retrouvé avec une dette publique de plus de 100 milliards de dollars. Au bord de la faillite, suite à l’éclatement d’une énorme bulle immobilière, il avait été renfloué par Abou Dhabi. Comme nous l’avions écrit dans une précédente édition de cet Atlas, contrairement à ce que l’on a pu lire sous la plume de certains économistes, qui voulaient avant tout rassurer les milieux des investisseurs, la crise a été dure et longue, très longue, en dépit de l’aide que les émirats voisins ont apportée à Dubaï.
Début 2020, les entreprises locales ne bénéficient toujours pas du regain de santé des banques et continuent de manquer de soutien, que ce soit pour les opérations domestiques ou internationales. Conséquences : des délais de paiement très longs sur le marché national et une hausse des retards de paiement à l’international, surtout sur les gros contrats. La nouvelle loi sur les faillites, dont le projet était prêt depuis fin novembre 2011, est finalement entrée en vigueur fin décembre 2016. Elle inclut une procédure de sauvegarde calquée sur le modèle américain.
Pour information, tout comme en France, sauf clause spécifique, le transfert de propriété est réalisé à la conclusion de la vente, et non à la livraison, comme aux États-Unis ou en Allemagne (article 511 du code civil des EAU).
Soigner particulièrement la rédaction des contrats, vérifier scrupuleusement les clauses des crédits documentaires et rester vigilant dans le suivi des échéances. Ne pas hésiterà demander des lettres de crédit standby. Aux Émirats, ces dernières sont aussi acceptées en remplacement des garanties de marché classiques.
Mobilité
Chiffres clés
Population (2019) : 10,75 millions, dont population urbaine : 86 %.
Langues : l’arabe et l’anglais pour les affaires. Le perse, l’hindi et l’urdu sont également parlés.
Religions : musulmans (religion officielle) : 76 % (dont 85 % sunnites, 15 % chiites) ; chrétiens : 9 % (34 églises) ; 15 % autres (surtout des hindous).
Nombre de Français immatriculés (2018) : 23 054.
Nombre d’entreprises françaises implantées : 600.
Revenu national/hab. en parité de pouvoir d’achat (USD, 2019) : 70 240
Taux de croissance du PIB (2018) : + 2,2 %.
Émissions CO2 (tonnes/hab., 2017) : 21,6 t.
Indicateur global de sécurité (GPI, 163 pays, 2018) : 45e, niveau « élevé ».
Sources : MEAE, Banque mondiale, Commission européenne (base de données EDGAR), FMI, Institute for Economics & Peace pour le GPI et Le Moci.
S’y rendre
Formalités
Les ressortissants français sont dispensés de visa. Depuis la signature, le 6 mai 2015, de l’accord d’exemption de visa dans l’espace Schengen pour les ressortissants émiriens, et par mesure de réciprocité, un tampon apposé sur le passeport à l’arrivée aux aéroports de Dubaï et d’Abou Dabi autorise un séjour de 90 jours maximum, en une ou plusieurs fois, sur une période de 180 jours à compter de la date du tampon. Il convient de disposer d’un passeport d’une validité minimale de 6 mois à la date d’entrée sur le territoire émirien, sous peine de refoulement.
Cette exemption de visa s’applique à toutes les catégories de personnes, pour quelque motif de voyage que ce soit, y compris les voyages d’affaires. En revanche, il est rappelé que les ressortissants français qui se rendent aux Émirats arabes unis pour y travailler doivent être en possession d’un visa de travail et d’un permis de travail délivrés par les autorités émiriennes.
Les Français désireux de s’installer aux Émirats arrivent donc sans visa et disposent ensuite d’un délai de 30 jours pour effectuer, via leur employeur, les formalités d’obtention du visa de résidence.
Bon à savoir : les autorités émiriennes conservent toute latitude pour accepter ou refuser l’entrée de ressortissants étrangers sur leur territoire. Il arrive que des ressortissants français soient ainsi refoulés à leur arrivée aux Émirats arabes unis (notamment à Dubaï) par la police aux frontières et contraints de retourner vers leur lieu de départ, sans compensation des frais engagés (voyage, hôtel, etc.).
Bien qu’aucune motivation ne soit formellement donnée aux voyageurs concernés, ces décisions, qui ne sont pas susceptibles de recours, s’inscrivent dans le cadre des mesures préventives prises par les autorités locales en matière sécuritaire, dans le contexte de la lutte contre le terrorisme.
Y travailler
Le marché du travail
Le marché de l’emploi se caractérise par la forte proportion de main-d’oeuvre immigrée (plus de 90 % de la population qui travaille). Si le gros de la main-d’oeuvre immigrée vient d’Asie et occupe des emplois peu qualifiés (construction notamment), la prospérité attire également les talents venus des pays industrialisés (Royaume-Uni, États-Unis, etc.) pour les emplois qualifiés.
Les secteurs porteurs sont : le gaz et le pétrole, la banque, l’ingénierie, le BTP, le commerce de détail et l’informatique.
Il existe différents moyens de trouver un emploi aux Émirats Arabes Unis. Si internet est une véritable mine de ressources, les journaux locaux en ligne tels que « Gulf News », « Khaleej Times » et « Emarat Al Youm », comportent également d’annonces d’emploi. Vous pouvez aussi avoir recours aux sites gouvernementaux, ou encore, aux agences de recrutement basées aux Émirats Arabes Unis.
Pour être autorisé à travailler aux Émirats Arabes Unis, vous devez être en possession d’un visa et d’un permis de travail. Vous devez également disposer d’une offre d’emploi au préalable pour être en mesure de demander un permis de travail. Il est tout à fait possible de débuter votre recherche d’emploi depuis l’étranger. Une fois que vous aurez décroché un poste, votre employeur sera tenu de parrainer votre demande de visa et se charger des frais imposés en fonction du type de contrat de travail.
Source : Expat.com
Le cadre légal du travail
Le contrat de travail est encadré par la loi et accessoirement par la négociation individuelle.
Salaire minimum légal : il n’existe pas de grille des salaires avec minimum garanti. Les salaires sont fixés librement par les employeurs.
Durée de travail : 8 heures par jour, 9 heures pour les employés du secteur de l’hôtellerie et de la restauration.
Durée de la période d’essai/du préavis : 6 mois maximum de période d’essai, 3 mois maximum de préavis.
Rémunération avantages et impôts : salaire de base + logement + transport. Assurance-maladie, un billet d’avion par an pour retour au pays.
Jours chômés hebdomadaires : jeudi et vendredi.
Horaires de travail
Administrations : du samedi au mercredi de 8 h – 14 h.
Entreprises : 8 h – 13 h – 16 h 30 -19 h 30. Fermées le jeudi après-midi et le vendredi.
Banques : du samedi au mercredi : 9 h- 16 h 30.
Sources : MEAE et Business France.
Meilleurs sites d’emploi
www.dubaijobs.net
https://jobs.abudhabi.ae/en/#sthash.rhQHqnl6.dpbs
www.manpowergroup.ae/en/home
www.nadia-me.com
www.bacme.com
Vie pratique
Coût de la vie
Monnaie : dirham des EAU (AED).
Taux de change :
– Fixe avec le dollar : 1 USD = 3,67 AED
– 1 EUR = 4,15 AED (12-04-2019).
Indice Big Mac : 3,8 USD.
Se loger : pour un trois pièces à Dubai entre 1 400 et 4 000 euros (Abou Dhabi : 1 700-3 600) ; pour un studio, entre 700 et 1 900 euros (Abou Dhabi : 1 000-1 700 euros).
Indice Mercer du coût de la vie (logement compris, 209 villes) : Dubaï (26e) et Abu Dhabi (40e).
Sources : Mercer, Numbeo.com, The Economist et XE currency converter.
Informations utiles
Décalage horaire avec la France : + 2 h en été; + 3 h en hiver.
Nature du réseau électrique
220 volts, prise britannique à 3 broches.
Télécommunications
Indicatif : + 971.
Qualité du réseau mobile : bonne.
Qualité du réseau Internet : bonne.
Principaux jours fériés 2019
11 août : fête du sacrifice
9 novembre : anniversaire du Prophète.
2 décembre : fête nationale.
Distances de ville à ville
Abou Dabi – Ras el Khaïmah : environ 250 km.
Abou Dhabi-Dubaï : environ 130 km.
Déplacements de ville à ville
Le réseau routier est performant.
Contacts
Les acteurs publics
Business France
Localisation : Embassy of France in the UAE
Al Habtoor Business Tower, 24th Floor,
Dubaï Marina
Po Box 3314 – Dubai
Tél. : +971 (0)4 408 49 50
https://www.businessfrance.fr
Douane
L’attaché douanier près l’ambassade de
France aux Émirats arabes unis
Zone de compétence : Émirats arabes
unis, Égypte.
Tél. : 00 971 43 12 84 00
[email protected]
https://www.douane.gouv.fr/fiche/lannuaire-des-attaches-douaniersletranger
Service économique régional de la DG Trésor
SER d’Abu Dhabi
Pays de la zone de compétence :
Émirats arabes unis, Arabie saoudite,
Bahreïn, Koweït, Qatar, Oman, Yémen.
Tél. : +971 2 813 1080
https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/AE
Les acteurs privés
Altios
Localisation : Dubaï
Jumeirah Bay Tower X2,
Office 308-33,
Jumeirah Lake Towers
126732 Dubai
Tél. : +971 4 427 3611
[email protected]
https://altios.com
Export Pulse
TTE Gulf Management Consultancy
Business Bay,
Citadel Tower
Office 3801, Al Abraj Street
Dubai
https://www.exportpulse.com
French Business Council
Dubai & Northern Emirates
Localisation : Dubaï
P.O. Box 25775
Dubai
Tél. : +971 4 312 67 00
[email protected]
http://www.fbcdubai.com
French Business Group
Abu Dhabi
Localisation : Abou Dhabi
Mina Road, Salam Street
Office Floor – Suite 05
Abou Dhabi
Tél. : +971 (0)2 674 1137
[email protected]
https://www.fbgabudhabi.com
Salveo
Localisation : Dubaï
HDS Tower, Office 609 Cluster F,
Jumeirah Lake Towers
P.O. Box 414078,
Dubai
Tél. : +971 (0) 4 875 84 00
[email protected]
[email protected]
https://salveo.international
Logistique & Douane
La Banque mondiale a annoncé en septembre 2021 l’arrêt de la publication Doing Business. Nous rappelons ici les dernières évaluations disponibles. Dans le classement « Doing Business 2020 », les Émirats arabes unis sont classés au 92e rang mondial (+6 places par rapport à 2019) pour la performance du commerce transfrontalier. Sont mesurés dans cette rubrique les délais et les coûts (hors droits de douane) associés à trois catégories de procédures : respect des exigences en matière de documentation, respect des procédures de commerce transfrontalier et transport intérieur. Les délais sont fournis en nombre d’heures et les coûts en dollars US. Le transport intérieur n’est toutefois pas intégré dans la note finale.
• À l’export : respect des procédures de commerce transfrontalier (durée 27 h. ; coût 462 USD) ; respect des exigences en matière de documentation (5 h. ; 140 USD).
• À l’import : respect des procédures de commerce transfrontalier (durée 54 h. ; coût 553 USD) ; respect des exigences en matière de documentation (12 h. ; 283 USD).
Actualités : Émirats Arabes Unis
Demain dans vos agendas : Chili, SITL, USAID, ICC, cosmétiques, Amériques
Chili : Une délégation multisectorielle d’entreprises, emmenée par Medef International, se rendra à Santiago du 24 au 25 mars 2025. Elle...
Entreprises, en bref : CMA CGM, FBD International, Verso Energy, Ryam, Rhénus, Europlasma
CMA CGM : le groupe maritime et logistique français a inauguré en grande pompe, le 12 décembre, son nouveau terminal à...
Émirats arabes unis : un accord de partenariat économique avec l’Union économique eurasiatique sur les rails
Les Émirats arabes unis (EAU) ont annoncé le 11 décembre avoir terminé les négociations entreprises avec l’Union économique eurasiatique (UEE)...