Promouvoir le libre-échange et défendre l’unité de la famille européenne : deux promesses faites par Angela Merkel à ses homologues de l’Union européenne (UE), au premier jour du sommet européen qui s’est tenu à Bruxelles les 9 et 10 mars. Et qu’elle aura en tête lors de sa prochaine visite à Washington – initialement prévue au début de cette semaine mais retardée par les intempéries outre-Atlantique–, pour rencontrer le nouveau président Donald Trump et être ainsi le premier dirigeant d’un pays de l’UE – hors la Première ministre britannique Theresa May– a être reçu à la Maison Blanche.
Autant dire que les résultats de cette rencontre vont être scrutés en Europe. Soutenue par les autres capitales et par la Commission européenne, la chancelière allemande préconise de poursuivre, voire d’accélérer, les négociations de libre-échange menées avec des pays tiers tels que le Japon, le Mexique et bientôt avec l’Australie ou la Nouvelle-Zélande. Une stratégie qui a finalement été gravée dans le marbre des conclusions du sommet, notamment pour anticiper les conséquences des politiques protectionnistes promues par le nouveau locataire de la Maison Blanche. Et c’est bien ce sujet qui figure en tête des listes des dossiers qui seront abordés entre les deux chefs d’État…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 230
diffusée le 16 mars 2017 auprès de ses abonnés
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