N° 1 • Le MSc International Business de SKEMA Business school
Labellisé par la Conférence des grandes écoles (CGE), le Master of science est une formation professionnalisante garantissant des débouchés à la sortie. Créée par la CGE en 2002, ce label ouvert à des étudiants français ou étrangers de niveau bac + 3 à bac + 4 a pour objectif l’internationalisation des campus. D’une durée de dix-huit mois, la formation combine des enseignements théoriques et la soutenance d’un mémoire de recherche. Le Mastère spécialisé est un autre label de CGE. Il est accessible à des jeunes diplômés ou à des actifs déjà dotés d’un bac + 5 (exceptionnellement d’un bac + 4). Il dispense en un an une formation professionnalisante et ciblée sur une fonction ou une thématique précise. C’est le diplôme par excellence pour se spécialiser dans une fonction pointue ou pour acquérir une double compétence technique et managériale.
La parole au n°1
Philippe Chéreau, directeur scientifique du MSc International Business de Skema
«Le MSc entend se consacrer au processus d’internationalisation de l’entreprise »
« Très exigeant – quelque 10 % de la promotion ressortent chaque année sans leur diplôme – le master of science (MSc) International Business de Skema donne l’opportunité de vivre l’international – un semestre voire une année entière – en offrant sur les trois campus de l’école aux États-Unis, en Chine et en France un cursus identique, quoiqu’adapté au marché local. Identifié comme un acteur local grâce à nos campus en propre, Skema a très facilement accès à des études de cas de PME locales. Le MSc entend se consacrer au processus d’internationalisation de l’entreprise. Il ne s’agit pas juste d’ajouter le qualificatif d’international à un MSc classique de gestion, mais de traiter cette dimension comme une matière à part entière. Les professeurs sont donc tous des praticiens du commerce international et beaucoup d’entre eux font de la recherche sur l’internationalisation des entreprises.
Au-delà de la pratique, nous souhaitons transmettre aux étudiants un état de l’art sur le sujet afin de leur donner des bases théoriques solides. Nos diplômés ne se destinent en effet pas à rester responsables grands comptes toute leur vie, mais à prendre rapidement en charge le lancement ou le management d’une business unit à l’étranger, ce qui dans un monde en constant changement, demande d’être capable d’une bonne hauteur de vue. Les deux tiers de la promotion sont étrangers et beaucoup retournent travailler dans leur pays, un tiers des diplômés travaillent à l’international, souvent dans le pays dans lequel ils ont étudié ».
Gaëlle Ginibrière
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