Les couteaux sont tirés avant le second tour des élections présidentielles, le 7 mai. La plus prompte à frapper en matière de commerce international aura été Marine Le Pen, qui a accusé, le 25 avril, son rival, Emmanuel Macron, de vouloir « la dérégulation totale, l’ouverture totale, le libre-échange total ». La candidate du Front national (FN) a précisé que « l’État doit poser des régulations au marché pour établir une concurrence loyale, permettre qu’un acteur ne détruise pas l’autre ».
Mais à dire vrai, quand on consulte les programmes des deux concurrents sur leurs sites Internet*, chacun, semble-t-il, s’est évertué à éviter que le mot « libre-échange » soit écrit noir sur blanc, si ce n’est Marine Le Pen une fois pour le dénoncer…
diffusée le 27 avril 2017 auprès de ses abonnés
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