Pour répondre à cette question, Le Moci vient de publier un dossier sur ce pays qui veut attirer davantage des investisseurs extérieurs pour substituer une production
locale aux importations et pour développer de nouveaux flux d’exportations.
Les trois
secteurs privilégiés sont : l’automobile, l’aéronautique, et l’énergie. Un
nouveau système d’incitation aux investissements, encore à confirmer, prévoit d’autres secteurs comme les mines (notamment l’extraction du minerai de
fer), les transports ferroviaires et maritimes, les chantiers navals, le
tourisme, l’éducation, la pharmacie, ou la défense.
Au nombre de 400 à 450, les entreprises
françaises sont bien présentes en Turquie. Mais ce sont essentiellement de
grands groupes internationaux. Il est plus difficile d’intéresser les PME et les
ETI au marché turc. Peut-être un nouveau code du commerce, qui est effectif
depuis le 1er juillet de cette année, va-t-il introduire un peu de
transparence sur un monde turc des affaires encore opaque et où l’informel
représente le quart du PIB.
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de paiement, ainsi que les salons et missions qui se dérouleront au second
semestre de l’année.
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