« Nous voudrions créer des partenariats intelligents pour répondre aux appels d´offres de l´Etat (…). Les entreprises algériennes apporteraient leur relationnel et le financement ; les entreprises européennes, notamment françaises, leur savoir-faire ; et les entreprises des pays émergents, Chine ou Turquie, qui cassent les prix avec leurs monnaies et leurs salaires faibles, leur capacité concurrentielle », a déclaré Réda Hamiani, président du Forum des chefs d´entreprises (FCE), le 23 février, à jeuneafrique.com.
Le patron des patrons algériens ne croit pas à un scénario à la tunisienne dans son pays. « Le potentiel financier de l´Algérie peut apaiser la contestation », a-t-il ainsi affirmé. Le 21 février dernier, Reda Hamiani déclarait aussi que « le principe » 51-49 % (51 % de part algérienne au minimum pour tout nouvel investissement) ne devrait pas s´appliquer dans l´industrie. Il proposait de lui substituer la règle 70-30 % (30 % de part algérienne au minimum).