Membre du conseil exécutif de
l’organisation patronale FCE (Forum des chefs d’entreprise), Abdessamed Salah
Eddine a qualifié de « trop rigide » la règle du 51/49, qui oblige un
opérateur étranger à céder au moins 51 % d’un nouveau projet d’investissement à
un partenaire local, rapporte, le 19 janvier, tsa-algerie.com.
« L’État doit définir les domaines et les secteurs stratégiques qu’il
veut soutenir. On peut aller de 0 à 100 % », estime Abdessamed Salah
Eddine, selon lequel l’État pourrait de façon cohérente accepter des
investissements 100 % étrangers dans le tourisme et les refuser dans
l’industrie plastique, dont le marché domestique est saturé.
Pour en savoir plus :
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- 1 La fiche pays du MOCI sur l’Algérie
- 2 Le GPS Business du MOCI sur l’Algérie, en tapant
« Algérie » dans l’onglet « Où », qui présente des
actualités et des dossiers d’informations, une série de salons, des appels
d’offres, des textes règlementaires, des sites de référence, une
bibliographie et une liste d’experts membres du Moci Club.