Le gouvernement algérien n´a pas l´intention d´abandonner la règle des 51/49, obligeant tout opérateur étranger à abandonner 51 % du capital d´une société de production en cas de nouvel investissement, rapporte, le 27 février, tsa-algerie.com. Il a juste « apporté des aménagements à cette règle », selon le ministre de l´Industrie, de la PME et de la promotion de l´investissement, Mohamed Benmeradi. En l´occurrence, a-t-il précisé, « les 51 % détenus par la partie algérienne peuvent être partagés par une entreprise nationale ou deux, ou par une entreprise et un établissement financier ».
Le 21 février dernier, le président du Forum des chefs d´entreprise, Reda Hamiani, avait déclaré que « le principe des 51/49 ne devrait pas s´appliquer à certains segments d´activité porteurs de richesses et de transferts de technologie ».