Le London Stock Exchange (LSE) vient de marquer un point important dans son avancée vers les marchés financiers africains émergents en signant, jeudi 9 novembre, un accord avec les bourses de Casablanca et d’Abidjan. Il marque le dynamisme du marché londonien alors que la place de Paris semble perdre du terrain.

Concrètement, l’accord porte sur le programme « ELITE » du LSE qui vise à assister les sociétés internationales émergentes en forte croissance dans une phase de pré-cotation sur les marchés financiers et à les conseiller dans leurs investissements extérieurs. Il s’engage à l’étendre aux pays de l’Union monétaire Ouest africaine (UMOA), c’est-à-dire le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal, et Togo. Ce programme ELITE concerne actuellement 467 sociétés dans 25 pays…

Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 260
diffusée le 16 novembre 2017 auprès de ses abonnés
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