« Avec l’élection américaine, il y a une occasion unique pour l’Europe de s’affirmer comme la première puissance commerciale internationale », avait martelé Matthias Fekl, le secrétaire d’État au Commerce extérieur français, lors d’une audition à l’Assemblée nationale le 24 janvier. Une orientation stratégique également défendue par les autres États membres et la Commission européenne à Bruxelles qui n’a cessé de multiplier les contacts, ces dernières semaines, pour renforcer les liens commerciaux avec des pays tiers.
C’est dans ce contexte que Cecilia Malmström a annoncé, le 1er février dernier, l’accélération des discussions pour moderniser l’accord de libre-échange UE / Mexique scellé en 2000…