Le 1er décembre, la nouvelle Commission dirigée par Ursula Von Der Leyen a pris ses fonctions à Bruxelles. Si son investiture marque le début d’une nouvelle ère, elle sonne aussi la fin d’une partie d’échec, qui s’est jouée en coulisses entre dirigeants européens, dont Emmanuel Macron, pour placer leurs pions aux plus hautes fonctions des institutions communautaires.
Le président français a-t-il gagné son pari d’accroître l’influence de la France dans ces instances ? La réponse est plutôt positive, mais à nuancer.
Des appuis à la Commissions, des ennemis au Parlement
Parfois loué, souvent critiqué pour son activisme, Emmanuel Macron a joué un rôle central dans cette course aux ‘tops jobs’ européens.
Après d’âpres négociations sur le choix du futur président de l’exécutif, c’est lui qui a proposé de désigner l’ex. ministre d’Angela Merkel à ce poste obtenant, en retour, la nomination de Christine Lagarde à la tête de la Banque Centrale Européenne (BCE)…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 352
diffusée le 12 décembre 2019 auprès de ses abonnés
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