Une nouvelle plutôt positive dans un climat plombé par le protectionnisme agressif de Donald Trump. C’est depuis Canberra que Cecilia Malmström, la commissaire au Commerce et son homologue australien, Steven Ciobo, ont donné le coup d’envoi officiel, lundi 18 juin dernier, aux pourparlers de libre-échange entre l’Union européenne (UE) et l’Australie. « Il y aura des moments difficiles », a prédit la libérale suédoise, « mais nous trouverons le moyen de parvenir au bout de ces négociations », a-t-elle ajouté devant la presse. Et rien de tel pour cimenter un nouveau partenariat que la désignation d’un objectif et d’un ennemi communs : « Nous avons toujours défendu le commerce international et nous continuerons à la faire », même si le climat actuel « menace la croissance mondiale », a déploré la commissaire européenne, se félicitant néanmoins du lancement de ces discussions, susceptibles, à terme, de « contrebalancer le protectionnisme de Donald Trump ».
Après ce vibrant plaidoyer en faveur du libre-échange et du respect de ses règles, les deux négociateurs en chef ont toutefois reconnu les difficultés auxquelles leurs équipes respectives ne tarderaient pas à faire face…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 288
diffusée le 21 juin 2018 auprès de ses abonnés
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