En plein bouleversement politique, l’Ouzbékistan, ex-république soviétique d’Asie centrale, veut privatiser à tour de bras afin de relancer son économie. Une stratégie qui attise l’appétit des investisseurs étrangers. Et si l’Ouzbékistan devenait enfin le grand pôle d’attraction de l’Asie centrale ?
Avec l’arrivée au pouvoir en décembre 2017 de Shavkat Mirzioïev, le plus peuplé des pays d’Asie centrale (33 millions d’âmes) a radicalement changé de cap. Finie l’hyper-protectionnisme, la non-convertibilité du soum, les prédations des affidés du pouvoir… C’est du moins le désir affiché par le nouveau Président, homme de l’économie contrairement à son prédécesseur, qui a régné sur l’Ouzbékistan d’une main de fer pendant un quart de siècle en appliquant ses méthodes de vieil apparatchik soviétique.
L’obsession de Shavkat Mirzioïev est de relancer l’économie nationale, notamment en attirant des milliards d’investissements directs étrangers (IDE). C’était tout le sens qu’il a voulu donner à sa visite à Paris début octobre 2018…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 331
diffusée le 6 juin 2019 auprès de ses abonnés
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