Alors que le feuilleton continue mais que le risque d’une sortie du Royaume-Uni sans accord s’éloigne, les Européens réfléchissent à « l’après Brexit ». Leur préoccupation : réfréner les ambitions dé-régulatrices du Premier ministre britannique Boris Johnson, ouvertement encouragées par les États-Unis de Donald Trump.
Les derniers épisodes du feuilleton sont connus. Le Premier ministre britannique a remporté une demi-victoire. Car s’il a réussi l’exploit, mardi 22 octobre, d’obtenir pour la première fois une majorité en faveur de l’accord de sortie. Le Parlement britannique lui a, cependant, refusé la ratification en trois jours, obligeant Boris Johnson à demander un report au delà du 31 octobre.
« Pour éviter un Brexit sans accord, je recommanderai aux 27 d’accepter la demande d’une extension », a rapidement rétorqué, sur Twitter, Donald Tusk, le président du Conseil européen. Le président du Parlement européen s’est prononcé pour la même solution quelques heures plus tard…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 345
diffusée le 24 octobre 2019 auprès de ses abonnés
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