D’après une étude de l’Institut
Oakland,
quelque 60 millions d’hectares de terres en Afrique ont été achetées ou louées
par des investisseurs privés ou des spéculateurs, rapporte, le 9 juin,
bbc.co.uk. Ces acquisitions de terres arables, qui sont destinées à l’exportation de
biocarburants ou de fleurs coupées, créent de « l’insécurité dans le système
alimentaire mondial », dénoncent les auteurs.