Invité le 27 avril par la Chambre franco-allemande de commerce et d’industrie (AHK/CFACI) à débattre à la Kedge Business School sur le thème « Le commerce international à l’heure des protectionnismes. Quel avenir pour l’Europe ? Quel avenir pour le monde ? », Anton F. Börner, président de la Fédération allemande du commerce de gros, du commerce extérieur et des services (BGA) et viticulteur « attaché aux produits de terroir », a surtout centré son intervention sur l’avenir de l’Union européenne (UE)…
Tout en s’inquiétant « des risques de repli sur le marché national », ce « Monsieur Export de l’Allemagne », interlocuteur clé de la chancelière Angela Merkel en matière économique, a dénoncé « le populisme » et « les solutions simples » auxquelles, a-t-il martelé, « nous devons résister ». A une dizaine de jours du deuxième tour des élections présidentielles en France, ses propos avaient évidemment une signification particulière, même si, à aucun moment, l’orateur n’a prononcé les noms des deux candidats en lice, Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Son message était clair : éviter la « balkanisation de l’Europe »…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 237
diffusée le 4 mai 2017 auprès de ses abonnés
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