Le 1er janvier dernier, l’Arabie Saoudite et les Émirats arabes unis (EAU) introduisaient simultanément la taxe à valeur ajoutée (TVA) au taux unique de 5 % dans le but de compenser la perte de recettes liées à la baisse des cours de l’or noir. Plus ouverts jusqu’à présent que son grand voisin du Golfe, les EAU envisageraient maintenant, à brève échéance, une modernisation encore plus poussée de son système économique afin d’y attirer davantage d’investissements directs étrangers (IDE).
En l’occurrence, il s’agirait de supprimer le « sponsorship« , un dispositif obligeant tout investisseur étranger à s’associer à un partenaire local. Dans la pratique, l’entreprise non émiratie doit abandonner au sponsor 51 % du capital en cas d’ouverture d’une filiale, et s’il s’agit d’une franchise et d’une simple succursale, les rênes de la structure à un agent émirien…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 283
diffusée le 17 mai 2018 auprès de ses abonnés
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