L’Accord de partenariat économique (APE) – nom officiel de cet accord*- annoncé le 8 décembre par Cecilia Malmström (notre photo), commissaire européenne au Commerce, et Taro Kano, ministre des Affaires étrangères de l’archipel, risque d’avoir un impact négatif sur l’économie du Royaume-Uni, qui va se trouver marginalisé en raison du ‘Brexit’, et sur les intérêts commerciaux de la Chine et surtout des États-Unis.
« Aujourd’hui, la Chine, l’Union européenne et les États-Unis représentent respectivement 20 %, 12 % et 11,5 % des importations nippones. Comme client du Japon, les États-Unis sont à 20 %, la Chine à 18,5 % et l’Europe à 11,5 %. Grâce notamment à l’automobile et l’agroalimentaire, nous allons remonter la Chine comme fournisseur », se félicite une source à la Commission européenne à Paris…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 264
diffusée le 14 décembre 2017 auprès de ses abonnés
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