Depuis plusieurs mois, les dispositions réglementaires prises par l’Algérie pour réduire le montant de ses importations suscitent inquiétudes et interrogations parmi les exportateurs de l’Hexagone. Après une première réunion organisée il y a un mois par la Chambre de commerce et d’industrie Paris Ile-de-France (CCIP IdF) sur la suspension temporaire de 851 produits*, la CCIP IdF s’est résolue, tant les remontées du terrain étaient importantes, à proposer un deuxième atelier technique, le 15 février, sobrement intitulé « appréhender le marché algérien ». Avec au programme la mise en pratique de la toute dernière réglementation sur « l’autorisation de libre circulation des produits ».
Signe de l’intérêt du sujet alors que la France est le deuxième pays fournisseur de l’Algérie et que cette dernière est le 18ème client de l’Hexagone, environ 80 entreprises étaient inscrites à cette réunion très animée, à laquelle participaient plusieurs acteurs de la scène économique algérienne, en l’occurrence, Reda El Baki (notre photo), le directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie franco-algérienne (CCIAF)…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 272
diffusée le 22 février 2018 auprès de ses abonnés
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