Le suivi en maritime doit obéir aux mêmes principes qu’en routier ou en aérien.
Les informations doivent être, sinon les mêmes, du moins s’additionner, se soustraire.
1 réserve + 1 réserve font bien 2 réserves.
1 expédition arrivée à l’heure + 1 expédition arrivée à l’heure = 2 expéditions arrivées à l’heure.
Si j’ai 42 expéditions en routier arrivées à l’heure sur 43 et 11 expéditions maritimes arrivées à l’heure sur 12, cela fait bien 53 expéditions arrivées à l’heure sur 55.
En pourcentage, on a :
42 sur 43 = 97,67 % à l’heure en routier,
11 sur 12 = 91,67 % à l’heure en maritime.
Au total :
42 + 11 / 43 + 12 = 96,36 % à l’heure, tous modes confondus.
Si ce niveau d’information n’est pas forcément judicieux pour un patron de PMI, à l’allure où les exportations augmentent, il va peut-être falloir penser à embaucher un(e) responsable transport.
À ce moment-là, vous saurez de quoi vous parlez et vous aurez une connaissance de l’état de départ de la mission de votre responsable transport. Il (elle) devra faire mieux !