Plus de 600 chefs d’entreprises d’Europe (y compris d’Albanie ou de Turquie, candidates à l’entrée dans l’Union européenne) ont participé, le 13 octobre, à la 4e édition du Parlement européen des entreprises, à l’invitation d’Eurochambres, l’organisation européenne des chambres de commerce et d’industrie (CCI) qui organise cette manifestation tous les deux ans à Bruxelles. Une réunion qui avait mal commencé, les présidents de la Commission européenne et du Parlement européen, Jean-Claude Juncker et Martin Schulz, qui devaient ouvrir les débats, s’étant tous deux fait remplacer le premier par Jyrki Katainen, commissaire à l’Emploi, la croissance, l’investissement et la compétitivité, et le second par Antonio Tajani, vice-président du Parlement européen. Nul ne savait alors dans l’hémicycle que Jean-Claude Juncker avait préféré se rendre au 20e anniversaire de l’Institut Jacques Delors, alors que Martin Schultz recevait le président de Croatie Kolinda Grabar-Kitarovic.
Participant pour la première fois au Parlement européen des entreprises, Jean-François Gendron se voulait pragmatique, malgré la déception. « En étant présentes aujourd’hui, les PME montrent qu’elles existent et qu’elles sont capables d’exercer un lobbying comme les grandes entreprises », a ainsi livré à la Lettre confidentielle le patron de Sotec Medical, qui préside également la CCI de Nantes Saint-Nazaire et le réseau CCI International dans l’Hexagone. Peu médiatisée en France, cette réunion au Parlement européen a permis de présenter aux institutions européennes les besoins et les demandes du secteur privé (…)
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 210
diffusée le 20 octobre 2016 auprès de ses abonnés
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