EM Normandie : l’école de management normande, qui s’est implantée à Dubaï il y a un an, a annoncé avoir obtenu deux nouvelles accréditations de la Commission for Academic Accreditations (CAA) du gouvernement fédéral des Émirats arabes unis, pour son Master international Marketing and business development et son Master international Logistics and port management. Ces accréditations permettent à sa filiale EM Normandie in the UAE, de recruter en propre des étudiants dans ces programmes et de leur délivrer des diplômes reconnus dans la fédération. Ils qui adressent des secteurs où, selon EM Normandie, les entreprises françaises recrutent. Elle accueillera dès janvier 2024 une trentaine d’étudiants dans ces formations, qui rejoindront sur le campus de Dubaï Knowledge Park les étudiants du Bachelor in International management et du programme Grande Ecole EM Normandie en mobilité.
Kuehne+Nagel : le géant de la logistique suisse Kuehne+Nagel va inaugurer le 19 octobre son nouveau hub aérien sur la zone cargo de l’aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle. Situé situé à Tremblay-en-France et construit par GSE, ce nouvel entrepôt de 12 600 m² est certifié « BREEAM Excellent », il vise à soutenir « les ambitions de développement de Kuehne+Nagel en France et renforce sa position en tant qu’acteur majeur du freight forwarding aérien » précise un communiqué du logisticien.
Europlasma : le spécialiste français du traitement et des déchets dangereux, de la valorisation matière et de la décarbonation, vient d’annoncer que sa filiale chinoise Europlasma Environmental Technologies (EET) est entrée en négociation avec un fonds d’investissement chinois basé à Hangzhou, en vue de mettre au point un procédé innovant de recyclage des anodes de batteries Lithium-ion utilisées dans les véhicules électriques. EET venait de terminer des recherches concluantes sur ce domaine dans son centre de recherche à Hangzhou. Sans en dire plus sur l’identité de ce fonds, qui serait spécialisé dans l’investissement dans les technologies de rupture en lien avec la protection de l’environnement, Europlasma précise qu’un tel projet lui « permettrait de disposer, à terme, d’un nouveau procédé à son actif et des droits d’exploitation dudit procédé au plan mondial – hors Chine ».
Gama : le constructeur français d’engins de transport propre Gaussin et son partenaire japonais Macnica Inc, leader mondial des semi-conducteurs, des appareils électroniques, des réseaux et des produits de cybersécurité, viennent d’annoncer que leur coentreprise Gaussin-Macnica-Mobility, issue de la reprise des actifs de Navya, change de nom pour s’appeler désormais Gama. C’est sous cette marque qu’elle exposera au prochain salon Busworld Europe de Bruxelles du 7 au 12 octobre. Basée à Villeurbanne et détenue à 51% par Gaussin et à 49 % par Macnica, Gama est spécialisée dans la mobilité autonome et zéro émission pour le transport de personnes et de marchandises.
Egis : le groupe d’ingénierie Egis va apporter son assistance et ses conseils au Fonds d’investissement Gingko, dans le développement et la conception technique de solutions fondées sur la nature (SFN) sur cinq sites urbains européens en cours d’aménagement en France, Italie, Portugal et aux Pays-Bas. Le fond Gingko, créé en 2010 en partenariat avec Edmond de Rothschild Private Equity, est une plate-forme d’investissement dédiée à la régénération urbaine durable en Europe. Cette mission d’assistance technique d’une durée de 2 ans est financée par l’instrument Natural Capital Finance Facility de la Banque européenne d’investissement et de la Commission européenne.
Tata-Air France-KLM : Le groupe Air France-KLM a annoncé que Tata Communications, acteur mondial de l’écosystème numérique, rejoint son programme Corporate SAF visant à promouvoir et à développer l’utilisation de carburant aviation durable (SAF). C’est la première entreprise indienne à faire cette démarche. D’après le communiqué de la compagnie, le programme corporate SAF lui permet de s’associer à des entreprises pour accélérer la production et l’utilisation des SAF, et ainsi ouvrir la voie à une plus grande disponibilité de ces carburants qui réduisent les émissions de CO2 d’au moins 75 % par rapport au carburéacteur conventionnel sur l’ensemble du cycle de vie.