La filière agroalimentaire française devrait être une des premières bénéficiaires de l’Accord économique et commercial global (AECG) ou Comprehensive Economic and Trade Agreement (CETA) entre l’Union européenne (UE) et le Canada, entré en vigueur de façon provisoire le 21 septembre. Et ce pour une raison simple : de part et d’autre, pour la quasi-totalité des lignes tarifaires, les droits de douane vont être progressivement éliminés (sur 3 ans, 5 ans, 7 ans, à compter du 1er janvier 2017*).
Aujourd’hui, les exportations agroalimentaires de l’Hexagone au Canada sont assez faibles, de l’ordre de 750 millions d’euros et encore 70 % sont à mettre au crédit du seul secteur des vins et spiritueux. Les ingrédients alimentaires – ovo produits, préparations alimentaires, ingrédients laitiers, additifs… -, en particulier, n’ont représenté que 55 millions…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 264
diffusée le 14 décembre 2017 auprès de ses abonnés
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