Dans une déclaration à l’OMC*, 16 pays dénoncent les normes sanitaires et phytosanitaires imposées aux agriculteurs par l’Union européenne (UE) sur son marché. Parmi eux, plusieurs viennent de signer un accord de libre-échange avec cette dernière.
De quoi risquer de ruiner les efforts de Bruxelles et des pays-membres pour rassurer les opinions publiques européennes quant aux garanties fournies dans ces accords de libre-échange en matière de respect des normes environnementales, sanitaires et phytosanitaires.
Que dit cette déclaration ?
Les réglementations européennes imposées aux agriculteurs pourraient avoir des conséquences dommageables sur les moyens de subsistances au niveau mondial. C’est en substance ce qui est reproché à l’UE dans cette déclaration, soumise le 4 juillet à l’OMC (Organisation mondiale du commerce), par les Etats-Unis et 15 autres pays à savoir l’Australie, le Brésil, le Canada, la Colombie, le Costa Rica, la République dominicaine, l’Equateur, le Guatemala, le Honduras, la Malaisie, le Nicaragua, le Panama, le Paraguay, le Pérou et l’Uruguay…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 336
diffusée le 11 juillet 2019 auprès de ses abonnés
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